La cliente “Closed Deal” Caroline Margeridon a dû affronter Lady Boo dans un combat de boue dans le noir. ALP/France TV/Laurent Vu Si l’ancienne Miss France Vaimalama Chaves et l’hypnotiseur Messmer, leader de l’équipe, ont brillé sur la nouvelle cellule “Haute Tension” et ses faisceaux laser à éviter, particulièrement difficiles, alors ils ont péché. Mesmer, avec son flegme trop passif, complètement à l’ouest dans l’épreuve “Lytary” (où il s’agit de courir sur une roue en mouvement) avec Caroline Margeridon, et manque le dernier code dans “Head Seeker” au milieu des petites bêtes. Vaimalama avec de mauvais conseils. Trop confiante, elle a perdu de précieuses secondes face à l’ancien candidat de “Koh-Lanta” Moussa dans la première salle de “The Bank”. « Si ça ne bouge pas, c’est qu’il n’y en a pas », lui dit-elle lorsqu’il fit face au bon obstacle. L’aventurier a été capturé.

Moussa, détenu jusqu’à la fin des preuves

Malgré une belle performance dans le ‘Water Jet Beam’, Moussa n’a pas pu faire grand-chose pour son équipe par la suite. Il est en fait le seul détenu potentiel du début de la saison qui n’a pas réussi à être libéré à mi-émission, il est donc resté derrière les barreaux jusqu’à la fin de la recherche de preuves. L’humoriste Edgar-Yves s’est fait remarquer par son inactivité. A défaut du « Casino » et de sa chaise vertigineuse, il est alors désigné pour un bras de fer et préfère laisser sa place au chroniqueur Philippe Caverivière. Lors de quêtes d’indices, souffrant de vertiges invalidants, il abandonne sans même tenter de prendre l’air. De tout le spectacle, son seul succès a été de gagner un test de compétence pendant la crise contre Blanche, l’un des personnages du fort. Abandonnant aussi Vaimalama devant la maison de poupée et ses araignées. Pourtant, la reine de beauté s’est vu promettre deux objets au lieu d’un si elle osait affronter les tarentules. Un cadeau divin pour l’équipe qui jusqu’alors n’en avait pas ! “Ce n’est pas le cas,” dit-il simplement, sans même essayer de s’excuser. Heureusement, Caroline Margeridon a haussé les épaules et est sortie avec l’objet unique de la soirée.

Un bilan franchement mitigé avec 7 546 euros dans la cagnotte

De son côté, Philippe Caverivière, n’a rien rejeté. Sauf que son équipe a préféré prendre le risque de le perdre en le laissant partir en crise et lorsqu’il a échoué, il s’est retrouvé en prison avec Musa. Bref, seulement 4 clés (sur 7), deux prisonniers, puis seulement 1 indice (sur 5) : les résultats sont franchement mitigés. De plus, les petits soldats se sont encore trompés lors de la composition du mot de code dans la salle du trésor, laissant deux “N” trop longtemps dans le mot “crayon” avant de finalement retirer la lettre supplémentaire. Résultats des matchs : seuls 7 546 euros ont été récoltés pour l’association LaVita. Certes, c’est mieux qu’un échec définitif, mais on est loin des 18 000 ou 19 000 euros que les prétendants des semaines précédentes ont touchés. Des équipes moins efficaces que d’autres, ça arrive souvent et finalement là n’est pas le problème. Le vrai souci est le manque d’engagement de ce groupe. Affronter ses peurs et devoir se dépasser : voilà tout le sel de “Fort Boyar”. Les échecs font partie du jeu, mais être abandonné sans même essayer, ou les défis abordés à la légère, est franchement rageant. Pourquoi participer à ces cas ? Une question qu’il faudrait se poser davantage au moment de constituer les équipes pour la saison prochaine.